« Ils étaient baptisés par Jean dans le Jourdain, en reconnaissant publiquement leur péché » (Mc 1, 5)
Depuis le XIIe siècle, la confession publique des pêchés n’est plus un traitement obligatoire… heureusement pour nous ! Le virus du péché n’en est pas moins actif pour autant… Masqué derrière notre bonne figure, il nous contamine en permanence… ! Contre ce virus pas de vaccin en vue, mais simplement un traitement régulier par la réception du pardon dans la confession individuelle. Condition assurée pour conserver une bonne santé spirituelle.
Père Bertrand